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Francis Lalanne : un artiste engagé pour la liberté de la France
Francis Lalanne est un artiste et un militant français, connu pour ses chansons, ses poèmes et ses prises de position politiques.
Dans notre interview avec lui, il a présenté son dernier livre, « Lettre en vers à l’occupant de l’Élysée, à la Représentation nationale et au peuple français ». Il a également exprimé sa foi, son engagement, son combat pour la paix et sa critique du gouvernement Macron. Voici les principaux points de son discours.
Lettre en vert : un livre censuré et provocateur
Francis Lalanne a écrit un livre intitulé Lettre en vert, dans lequel il interpelle le président de la République, qu’il appelle “l’occupant de l’Élysée”, ainsi que les députés et les sénateurs, qu’il accuse de trahir le peuple français.
Il leur reproche notamment la censure, la fraude électorale, la politique partisane, la violation des droits de l’homme et l’absence d’engagement des artistes face à la situation actuelle.
Il affirme que son livre a été censuré par les médias mainstream, qui ont refusé de le publier ou de l’inviter.
Francis Lalanne dénonce le contrôle de l’information par les puissances financières et les lobbies et regrette que ses confrères artistes se taisent ou encouragent la censure, au lieu de défendre la liberté d’expression et la diversité culturelle.
Il explique qu’il a écrit son livre en vert, pour instruire l’occupant de l’Élysée, qui selon lui ne connaît pas l’histoire de la France ni sa langue et affirme que le vert est la couleur de l’espoir, de la vie et de la résistance.
Il revendique son appartenance à l’art français et à la langue française, qu’il considère comme des trésors à préserver.
La candidature citoyenne : une alternative à la politique politicienne
Francis Lalanne s’engage pour la candidature citoyenne, qu’il oppose à la candidature partisane.
Il défend le principe de la démocratie directe, qui permet au peuple de choisir ses représentants parmi les citoyens libres et indépendants, sans passer par les partis politiques et critique le système électoral actuel, qui favorise les candidats des grands partis soumis aux intérêts privés et aux pressions extérieures.
Il milite pour la réintégration et le dédommagement des soignants et des pompiers, qui ont été licenciés ou sanctionnés pour avoir refusé le vaccin obligatoire.

Il dénonce la dictature sanitaire, qui impose des mesures liberticides et inefficaces, au nom d’une pandémie qu’il juge fabriquée et appelle à la désobéissance civile et à la résistance pacifique.
Il exprime sa confiance dans le peuple français, qu’il croit capable de se réveiller et de se lever pour défendre sa liberté.
Il lit un poème intitulé Ode à la France, dans lequel il rend hommage à la grandeur et à la beauté de la nation et annonce qu’il participera à une manifestation le 10 décembre à Aix-en-Provence, pour soutenir la candidature citoyenne.
La foi et le pardon : les moteurs de son combat
Francis Lalanne se dit animé par sa foi chrétienne et son amour du prochain.
Il se dit proche des croyants de toutes confessions, qu’il respecte et qu’il appelle à s’unir pour la paix et explique comment il a pardonné à ses ennemis, qui l’ont attaqué, insulté ou menacé, citant l’exemple de Fortino Samano, un révolutionnaire mexicain, qui a pardonné à ses bourreaux avant d’être fusillé.
Il revient sur son rôle dans la lutte des intermittents du spectacle, qui ont fait grève en 1992 pour défendre leurs droits.
Francis Lalanne raconte comment Pierre Lambert, un militant trotskiste, l’a convaincu de quitter la lutte, en lui disant que les artistes n’avaient pas le pouvoir de changer le monde. Il regrette que ses poèmes n’aient pas changé la situation, mais il garde l’espoir que l’art puisse éveiller les consciences.
Il affirme que son combat n’est pas motivé par la haine, mais par l’amour et qu’il ne cherche pas à détruire, mais à construire.
La politique étrangère de Macron : une trahison de la France
Francis Lalanne dénonce la politique étrangère de Macron, qu’il accuse de violer la Constitution et de trahir les intérêts du peuple français.
Il affirme que Macron a déclaré la guerre à la Russie, en envoyant des armes et des soldats en Ukraine, en soutenant le régime de Kiev, en imposant des sanctions économiques et en provoquant le président Poutine. Il appelle à la destitution de Macron, qu’il considère comme un psychopathe et un criminel.

Il compare le discours de Dominique de Villepin à l’ONU en 2003, qui s’opposait à la guerre en Irak, au discours de Macron, qu’il appelle “l’occupant de l’Élysée”, qui prône la confrontation avec la Russie.
Francis Lalanne critique le rôle néfaste des États-Unis et des mondialistes, qui veulent détruire l’Europe et la France et appelle à la libération de la France de leur emprise et de celle de l’OTAN.
Il invoque l’histoire de la France et ses leçons, notamment la période napoléonienne, qui a montré les conséquences désastreuses du blocus continental imposé à la Russie, soulignant que la France a toujours été un pays de paix et de diplomatie, ayant su dialoguer avec tous les peuples et respecter leur souveraineté.
Selon lui, la France doit retrouver sa place dans le monde et son indépendance.
La destitution de Macron : une nécessité et une possibilité
Francis Lalanne explique la possibilité de destituer le président de la République française sur le fondement de l’article 68 de la Constitution, qui prévoit que le président peut être destitué « en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat. »
Il détaille les conditions, les procédures et les conséquences d’une telle démarche, ainsi que les raisons qui la justifient selon lui.

Il affirme que Macron a commis de nombreux délits de haute trahison, qui sont passibles de la destitution, tels que :
- La violation de la Constitution,
- La violation des droits du Parlement,
- La vente des intérêts de la France aux puissances étrangères,
- L’agression contre la Russie,
- La mise en danger de la sécurité nationale,
- La mise en place d’une dictature sanitaire, etc…
Il dénonce l’opposition contrôlée, qui selon lui ne fait que jouer le jeu du pouvoir et ne propose pas de véritable alternative et critique la motion de censure comme une mascarade, qui n’a aucune chance d’aboutir.
Il appelle à utiliser l’article 68 comme une arme, qui permettrait de faire comparaître le président devant la Haute Cour de justice et de révéler la vérité au peuple.
Il exhorte les députés et les sénateurs à se mobiliser pour demander la saisine de la Haute Cour de justice, qui nécessite l’initiative de 58 députés ou 33 sénateurs.
Il leur promet de les soutenir et de les rejoindre s’ils le font et demande aux citoyens d’envoyer des emails et des messages à leurs élus pour les convaincre.
Francis Lalanne termine par une ode à la France et à son peuple, qu’il invite à se réveiller et à reprendre son destin en main.
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