Tous vaccinés, tous protégés ?
Le livre choc de Christine Cotton, bio statisticienne et lanceuse d’alerte

Christine Cotton est une bio statisticienne ayant travaillé pendant 15 ans dans l’industrie pharmaceutique.

Elle a décidé de rompre le silence et de publier un livre intitulé “Tous vaccinés, tous protégés ?” aux éditions Guy Trédaniel.

Dans cet ouvrage, elle révèle les failles des essais cliniques des vaccins contre le Covid-19, les effets indésirables graves et méconnus, le déni du corps médical et des autorités et la censure médiatique dont elle est victime.

Elle réclame une reconnaissance et une prise en charge des victimes, ainsi qu’une transparence sur les données et les conflits d’intérêts.

Dans cet article, nous allons résumer les principaux points qu’elle expose dans l’entretien qu’elle nous a accordé.

Qui est Christine Cotton ?

Christine Cotton est une ancienne employée de l’industrie pharmaceutique, où elle a travaillé pendant 15 ans comme biostatisticienne et participé à de nombreux essais cliniques, notamment sur les vaccins.

Elle a quitté ce secteur en 2019, après avoir découvert des pratiques douteuses et des manipulations de données. Elle a alors décidé de se consacrer à la recherche indépendante et à l’information du public.

Son livre “Tous vaccinés, tous protégés ?” est un succès malgré le silence des médias.

Il s’agit d’un roman statisticien, qui dévoile les dessous de la crise sanitaire et les problèmes des vaccins contre le Covid-19. Elle y explique comment les chiffres sont truqués, comment les études sont biaisées, les effets secondaires minimisés, et comment les victimes sont abandonnées.

Quels sont les problèmes des essais cliniques des vaccins contre le Covid-19 ?

Christine Cotton démontre que l’efficacité des vaccins est basée sur des critères biaisés et des comparaisons fallacieuses et qu’ils n’empêchent ni la transmission du virus, ni les formes graves de la maladie, ni les décès.

Selon elle, les essais cliniques des vaccins contre le Covid-19 sont truffés de problèmes de méthodologie, de durée, de population et de résultats et n’ont pas respecté les normes scientifiques habituelles.

Elle critique la rapidité de développement des vaccins contre le Covid-19, qui n’ont pas respecté le temps incompressible de validation des différentes phases des essais cliniques.

Ils ont été menés sur des périodes trop courtes, en excluant les personnes à risque et les données ont été manipulées pour exagérer l’efficacité des vaccins.

Elle affirme que les essais cliniques n’ont pas fourni suffisamment de résultats sur les populations à risque, telles que les personnes âgées, les immunodéprimés ou les femmes enceintes, et que les effets à long terme des vaccins demeurent inconnus, les études étant incomplètes.

Elle critique le manque apparent d’éthique et de rigueur dans les essais cliniques, et leur non-respect des règles de protection des patients.

Par ailleurs, Christine Cotton remet en question le chiffre de 95% d’efficacité des vaccins, notant qu’il est calculé principalement sur la base de la réduction des cas légers à modérés de Covid-19, et non sur la protection contre les formes graves de la maladie ou la transmission.

Elle soutient que ce chiffre est trompeur car il ne prend pas en compte le nombre de personnes vaccinées ni celui de personnes infectées dans chaque groupe.

Elle dénonce également la manière dont les médias reprennent ce chiffre sans le comprendre ni le vérifier, suggérant une manipulation de l’information.

Elle souligne que les anticorps produits par les vaccins chutent rapidement, rendant nécessaire des rappels incessants.

Elle souligne également que les vaccins à base d’ARN messager représentent une technologie jamais utilisée auparavant, ce qui soulève des inquiétudes quant à leur sécurité.

Par ailleurs, Christine Cotton soulève la question de l’intérêt et du risque de vacciner des populations qui ne sont pas considérées comme étant à risque, telles que les enfants ou les bébés.

Elle fait référence à une question posée lors d’une audition de la FDA, remettant en question le rapport bénéfice/risque de la vaccination des enfants et affirme qu’elle n’aurait jamais donné son autorisation pour de telles injections sur la base des résultats intermédiaires.

Christine Cotton alerte sur les conséquences du développement accéléré et bâclé des vaccins contre le Covid-19, et sur la qualité et la crédibilité de la recherche clinique.

En appelant à la responsabilité individuelle des citoyens, elle encourage également à vérifier soigneusement les sources d’information afin de garantir une prise de décision éclairée et informée en matière de santé publique.

Les conflits d’intérêts et la corruption dans le milieu médical et médiatique

Christine Cotton dénonce également les pressions politiques et les conflits d’intérêts susceptibles d’influencer les décisions des agences de santé et dévoile les liens entre les laboratoires pharmaceutiques, les médecins de plateau, les journalistes et les trolls qui diffusent la propagande pro-vaccinale.

Elle accuse les autorités sanitaires, les agences du médicament, les comités d’éthique et les instances de régulation d’être complices des laboratoires et de favoriser leurs intérêts financiers au détriment de la santé publique.

Elle expose les sommes colossales que les laboratoires versent aux médecins, aux médias et aux politiques pour acheter leur silence ou leur soutien et dénonce la manipulation, la censure et la répression exercées sur les lanceurs d’alerte et les opposants aux vaccins, qui sont harcelés, intimidés, diffamés ou poursuivis en justice.

Elle témoigne des attaques qu’elle a subies personnellement, de la part de ses anciens employeurs, de ses collègues, des médias et des trolls et révèle avoir reçu des menaces physiques et porté plainte contre les harceleurs et les trolls qui l’attaquent sur les réseaux sociaux.

Quels sont les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ?

Christine Cotton dénonce également le scandale des effets indésirables des vaccins, qui sont minimisés, occultés ou falsifiés par les laboratoires et les autorités.

Elle évoque les cas de « covid long », de séquelles neurologiques et de décès post-vaccination, rapportés par des témoignages de personnes de tous âges et de toutes conditions ayant accepté de se faire vacciner.

Christine Cotton révèle également que les vaccins peuvent provoquer des réactions allergiques, des thromboses, des myocardites, des paralysies, des troubles neurologiques et même des décès.

Christine Cotton évoque également le cas de Maddie, une jeune fille de 12 ans qui a participé à l’essai clinique de Pfizer, et qui souffre de multiples effets indésirables graves, notamment des convulsions, une paralysie et une incontinence.

Christine Cotton dénonce le déni des autorités sanitaires et des médias à reconnaître les victimes et leurs souffrances.

Elle pointe du doigt les contradictions et les incohérences des autorités sanitaires, qui attribuent ces effets à des coïncidences, des comorbidités ou des variants du virus et déplore l’absence de prise en charge des victimes, qui se sentent abandonnées tant par le corps médical que par l’État.

Elle alerte sur le danger de la technologie de l’ARN messager, soulignant qu’elle n’a jamais été utilisée chez l’homme auparavant, qu’elle modifie le génome et qu’elle peut potentiellement entraîner des maladies auto-immunes ou des cancers.

Christine Cotton souligne les risques associés à la protéine Spike, produite par les vaccins à base d’ARN messager, et met en avant la possibilité qu’elle puisse causer des dommages aux organes, aux vaisseaux sanguins et au système immunitaire.

Elle explique que cette protéine pourrait persister dans l’organisme pendant des périodes prolongées, potentiellement des mois voire des années, et qu’elle pourrait être transmise par le sang, la salive ou le lait maternel.

Elle met en garde contre les conséquences potentielles de cette protéine sur la fertilité, la grossesse et le développement des enfants.

En outre, elle affirme que les vaccins n’ont pas réussi à prévenir la mortalité liée au Covid-19 ou à ses séquelles, et qu’ils ont peut-être même contribué à la surmortalité observée en 2022.

Elle s’interroge sur les possibles causes de cette surmortalité, telles que les effets secondaires des vaccins, l’émergence de variants du virus ou encore les mesures sanitaires mises en place et accuse les pouvoirs publiques de minimiser ou d’ignorer ce problème et de falsifier les statistiques.

Christine Cotton dénonce les mensonges des autorités sanitaires, affirmant qu’elles reconnaissent en privé les problèmes d’efficacité du vaccin tout en continuant à le promouvoir publiquement.

Elle cite notamment un email de Rachel Valenski, directrice du CDC, dans lequel celle-ci admet que le vaccin ne protège pas contre le variant Delta et envisage de changer les critères d’évaluation.

Elle compare les études cliniques à de la pluviométrie biaisée, suggérant qu’elles mesurent non pas la pluie réelle mais plutôt la pluie qui tombe dans un seau percé, illustrant le manque de fiabilité dans les données présentées par les autorités sanitaires.

Quelles sont les alternatives possibles et les solutions pour sortir de la crise ?

Christine Cotton propose de remettre en question le dogme vaccinal et la gestion sanitaire actuelle, basés sur la peur, la contrainte et la culpabilisation.

Elle suggère plutôt de prendre en compte les traitements précoces et les mesures préventives qui sont à la fois efficaces et sans danger, mais censurés ou interdits.

Parmi ces traitements, elle mentionne l’Ivermectine, l’Hydroxychloroquine, la vitamine D, le zinc et l’oxygénothérapie, soulignant ainsi l’importance de considérer une approche plus large et diversifiée dans la gestion de la pandémie.

Christine Cotton invite à la mobilisation citoyenne et à la résistance pacifique pour défendre les libertés fondamentales, le droit à l’information et le consentement éclairé.

Elle explique comment se procurer son livre sans passer par Amazon, qui l’a retiré de la vente sous prétexte qu’il contrevient aux règles de la plateforme et indique l’adresse de son site internet où elle publie des articles, des vidéos et des documents et encourage les lecteurs à partager son livre, à le faire connaître et à le diffuser largement.

Elle conclut en affirmant que la vérité finira par triompher, et que les responsables de cette crise seront jugés et appelle à la solidarité et à la bienveillance.

Elle exprime sa gratitude envers les personnes qui la soutiennent et lui témoignent leur reconnaissance et déclare qu’elle continuera son combat pour le bien commun et pour l’avenir de l’humanité.

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