L’homme et la cité 3 : comprendre la guerre invisible et combattre l’empire du mensonge

Dans ce billet, nous abordons les idées développées par Stanislas Berton dans son livre “L’homme et la cité III : comprendre la guerre invisible et combattre l’empire du mensonge”.

L’auteur y propose une série de solutions pour faire face au projet mondialiste qui cherche à éradiquer les peuples, les cultures, les croyances religieuses et l’autonomie des nations, en établissant un contrôle omniprésent via les technologies, une gouvernance à l’échelle mondiale, des politiques de dépopulation et des pratiques déviantes.

Stanislas Berton détaille les divers aspects de ce projet, qui se déroule actuellement sous nos yeux.

Il appelle à une prise de conscience collective et à une résistance active contre cette menace et suggère pour cela de s’appuyer sur les outils de l’information, de la culture et de l’intégrité morale.

Le projet mondialiste et ses caractéristiques

Stanislas Berton introduit son ouvrage en le présentant comme un outil de réflexion et d’action, destiné à offrir les clés de compréhension du monde actuel.

Il y expose le projet mondialiste comme un agenda de contrôle exercé au moyen de la technologie, de la surveillance et de diverses interventions médicales.

Selon lui, l’objectif est de créer un nouvel être humain, coupé de sa nature originelle et de sa dimension transcendante.

Berton critique vivement le concept de gouvernance mondiale, qui, d’après lui, dépossède les États de leur souveraineté au profit d’organisations supranationales telles que l’ONU, l’OMS ou l’UE, qui agissent au service d’intérêts financiers et industriels.

Le livre aborde également la destruction des cultures, des peuples et des religions traditionnelles, considérées comme des entraves à l’uniformisation et à la domination mondiale.

Berton tire la sonnette d’alarme sur ce projet eugéniste et raciste de dépopulation, qui emploie des moyens tels que les guerres, les famines, les épidémies, les vaccins, l’avortement et la contraception pour réduire la population mondiale.

Enfin, Berton dénonce un projet visant à la perversion et à la sexualisation précoces des enfants, qu’il associe à une normalisation de la pédophilie, à la destruction de la structure familiale et à la création d’individus déracinés et facilement manipulables.

La guerre hors limite et la guerre de l’information

Stanislas Berton aborde ensuite les notions de guerre hors limite et de guerre de l’information, qu’il considère comme les deux formes principales de la guerre invisible se déroulant sur divers fronts.

Il définit la guerre hors limite comme un conflit ne faisant pas de distinction entre civils et militaires, utilisant tous les moyens disponibles – diplomatie, économie, culture, droit, psychologie … – pour affaiblir et déstabiliser l’ennemi.

Quant à la guerre de l’information, Berton la décrit comme un combat pour le contrôle de l’information et la manipulation des esprits.

Cette guerre s’appuie sur les médias, les réseaux sociaux, la propagation de fausses nouvelles et la censure pour promouvoir une vision du monde unilatérale et une pensée unique.

Il souligne l’importance de reprendre le contrôle du langage et de rectifier les termes utilisés, en vue de dévoiler les mensonges et les euphémismes qui dissimulent la vérité.

Berton insiste sur le fait que cette guerre engage chaque citoyen, qui doit se mobiliser et s’informer activement en recherchant des sources d’information alternatives et crédibles.

Cette mobilisation implique une vigilance constante face aux informations reçues et une démarche proactive pour découvrir la vérité.

Le grand réveil et la prise de conscience du public

Stanislas Berton poursuit en évoquant le « grand réveil » et la prise de conscience collective, qu’il identifie comme des conséquences directes de la guerre de l’information et de la désinformation.

Il explique que ce processus débute avec des minorités qui prennent conscience de la gravité de la situation. Ces minorités influencent ensuite le reste de la population, qui commence à s’éveiller à diverses problématiques telles que la corruption, le terrorisme, la pédophilie, entre autres.

Berton constate que ce mouvement crée une division profonde entre les classes dirigeantes, qu’il qualifie de décadentes, et la majorité de la population, de plus en plus méfiante envers les discours officiels et les promesses politiques.

Il espère que ce réveil collectif conduira à un changement radical et à un changement du paradigme actuel, ouvrant la voie à un renversement du système mondialiste et à la restauration de la souveraineté des peuples.

Pour Berton, ce processus représente une opportunité de redéfinir et de restructurer les sociétés sur de nouvelles bases plus justes et équilibrées.

La guerre invisible entre le mondialisme et l’anti-mondialisme

Stanislas Berton se penche sur la lutte souterraine entre mondialisme et anti-mondialisme, mettant en lumière les alliances émergentes entre divers acteurs internationaux.

Il examine le rôle de pays clés tels que l’Arabie Saoudite, l’Iran, la Chine, la Russie, les États-Unis et la France dans ce conflit aux dimensions religieuses, spirituelles, politiques et géopolitiques.

Selon Berton, le mondialisme trouve ses racines dans certaines branches du protestantisme et de la Kabbale, visant à façonner un homme dépourvu de toute connexion divine et législative, asservi à l’argent et au pouvoir.

En opposition, il présente le christianisme comme la religion de la libération du sacrifice, cherchant à affranchir l’homme de la servitude et de la violence tout en reconnaissant la dignité et la liberté de chaque individu.

Berton critique également le paganisme qu’il décrit comme un retour au sacrifice et à l’esclavage, visant à assujettir l’homme à la nature et aux forces occultes, tout en niant la valeur et la responsabilité de chaque individu.

Il dépeint sa vision d’une France catholique et patriote qui, selon lui, doit se détacher de la modernité et redécouvrir sa mission historique.

Pour Berton, ce renouveau implique un retour aux valeurs traditionnelles et une réaffirmation de l’identité nationale.

La Révolution française comme le premier pas du mondialisme

Stanislas Berton traite enfin de la Révolution française, qu’il considère comme le point de départ du mondialisme.

Selon lui, cette période historique visait à créer un nouvel homme et une religion républicaine.

Berton soutient que la Révolution n’a pas été un phénomène spontané mais a été, au contraire, soigneusement planifiée et financée par des forces extérieures, notamment la franc-maçonnerie.

Il avance l’idée que la crise de l’Ancien Régime a été exploitée par ces groupes dans le but de renverser l’ordre social et politique établi et que la Révolution française constitue donc un exemple précoce des dynamiques que le mondialisme chercherait à reproduire dans d’autres contextes historiques.

Stanislas Berton dénonce les changements induits par la Révolution française, en particulier l’attaque contre ce qu’il considère comme les deux piliers fondamentaux de la France : le catholicisme et la monarchie.

Selon lui, ces fondements ont été remplacés par la laïcité et la démocratie, qu’il perçoit comme des versions dégradées et corrompues de la religion et du pouvoir.

Il met en lumière les conséquences néfastes de ces changements pour le peuple français, notamment la conscription massive (levée en masse), la suppression des corporations, la guerre, la terreur, et la déchristianisation.

Berton affirme que ces événements ont entraîné des millions de morts et de victimes, marquant profondément l’histoire de la nation.

En outre, Berton s’intéresse à la symbolique occulte qu’il associe à la Révolution française, la reliant à des éléments tels que le culte de Mitra, l’œil du diable, ou encore la pyramide du Louvre.

Il interprète ces symboles comme des manifestations de la franc-maçonnerie, du paganisme et de la sorcellerie, suggérant une influence ésotérique sous-jacente aux événements de la Révolution.

Il met en garde contre les dangers de l’intelligence artificielle, qui est une tentative de prendre la place de Dieu et de créer une conscience artificielle.

Nous avons vu dans ce billet les idées de Stanislas Berton, qui nous invite à comprendre la guerre invisible et à combattre l’empire du mensonge.

Nous vous recommandons de lire son livre “L’homme et la cité -Volume III ”, qui propose des solutions concrètes pour résister au projet mondialiste.

Quittez le système en accédant aux meilleures stratégies, avec la Lettre Confidentielle :