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L’un des fondateurs du parti populiste de droite, Vox, blessé par balles à la tête à Madrid
Un homme politique espagnol qui avait participé à la fondation du parti populiste de droite Vox a été abattu d’une balle dans la tête en plein jour, jeudi, dans un quartier huppé de Madrid.
Alejo Vidal-Quadras, ancien vice-président du Parlement européen qui avait également été chef du Parti populaire de Catalogne, a été abattu à bout portant par un tireur qui s’est enfui à moto.
L’incident s’est produit vers 14 heures, heure locale, au 40, rue Nuñez de Balboa, à Salamanque, a confirmé la police.

Le journal espagnol El Mundo a rapporté que l’homme politique de 78 ans marchait seul dans la rue lorsqu’une moto avec deux occupants s’est approchée de lui.
Le passager, qui portait un casque pour dissimuler son visage, a alors tiré une balle dans la tête avant de s’enfuir.
Plusieurs passants ont soigné le politicien et ont signalé l’incident aux autorités.
Selon les médias locaux, les premiers intervenants ont signalé que la fusillade avait causé une blessure à l’entrée et une blessure à la sortie.
Vidal-Quadras a miraculeusement survécu à l’attaque et a été transporté d’urgence à l’hôpital de La Princesa pour y être soigné. Il est conscient et dans un état stable.
Agression avec arme à feu c/Núñez de Balboa, 40 à Salamanque. Le SAMU stabilise un homme de 78 ans blessé par balle et le transfère à l’hôpital de Madrid.
Les autorités locales ont bouclé le quartier aisé de la capitale espagnole et la police nationale a pris en charge l’enquête, demandant l’accès aux caméras de sécurité situées à proximité pour vérifier la plaque d’immatriculation de la moto.
M. Vidal-Quadras est resté une voix importante de la politique espagnole, apparaissant régulièrement dans des talk-shows et commentant l’actualité et le paysage politique du pays.
Quelques heures avant la fusillade, il a critiqué sur les réseaux sociaux le projet d’accord d’amnistie conclu entre le gouvernement espagnol de gauche et les séparatistes catalans, dont l’exilé Carles Puigdemont, qui a ouvert la voie au maintien au pouvoir du Premier ministre Pedro Sánchez à la suite d’élections infructueuses.
« Le pacte infâme entre Sánchez et Puigdemont qui écrase l’État de droit en Espagne et met fin à la séparation des pouvoirs a déjà été conclu », a écrit M. Vidal-Quadras.
« Notre nation cessera ainsi d’être une démocratie libérale pour devenir une tyrannie totalitaire. Nous, Espagnols, ne le permettrons pas », a-t-il ajouté.
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Source : Remix News
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