Ça y est, c’est acté !
Le représentant officiel de Pfizer la République française a annoncé en grande pompe l’injection obligatoire de la troisième dose de « l’anti-virus » du nezquicoule-19.
Ceci afin de continuer de jouir de notre passe sanitaire tant aimé pour les plus « fragiles », c’est-à-dire les plus de 65 ans, et ceux qui se déplacent régulièrement en trottinette électrique pour se commander un « tapettucinno » à 6,5€ à leur Starbucks préféré.

Nos amis retraités, qui ont pour une grande partie voté pour Macron, apprécieront que le jeune fringuant Emmanuel soit soucieux de leur santé.
À 82 ans, s’offrir une dernière croisière Costa Brava (pendant que leurs petits-enfants non quasiment plus d’avenir), sans risquer d’infecter l’équipage n’a pas de prix.

Bien entendu, une fois cette troisième dose injectée, viendra une quatrième, puis une cinquième, etc., jusqu’à être ivre de bonheur… cela s’appelle le processus d’engagement ou doigt dans l’engrenage ou coït-19.
Il est à savoir que 76% de la population française est déjà « mono » vaccinée et 68 % des Français ont reçu deux doses. Ces « gens-là » comme disait Jacques Brel ont reçu le fameux « schéma vaccinal complet » (mais temporaire).
Ce qui est incroyable, c’est la rapidité d’exécution que les Français ont envers leur maître une fois l’ordre donné.
C’est beau, j’en ai des frissons.

À la louche, nous sommes 16 millions à ne pas avoir tendu son bras, cela commence à être une minorité.
Un petit club privé où la fête bat son plein.
Récupérez les reportages, dossiers fuités, articles censurés sur les plateformes des GAFAM :
Découvrez aussi ces sujets
PROTESTATIONS MONDIALES APRÈS L’ATTAQUE DE L’HÔPITAL DE GAZA : LES LEADERS ARABES REFUSENT DE RENCONTRER BIDEN
À PÉKIN, POUTINE ET XI PLAIDENT EN FAVEUR D’UN « ORDRE MONDIAL ALTERNATIF »
AU-DELÀ DU CONFLIT : ANALYSE PROFONDE DE LA CINQUIÈME GUERRE ARABO-ISRAÉLIENNE
L’ÉCHEC D’ISRAËL EN MATIÈRE DE RENSEIGNEMENT EST « MAUVAIS POUR LES AFFAIRES »
ÉTUDE : LA STIMULATION ÉLECTRIQUE PEUT GUÉRIR TROIS FOIS PLUS VITE LES PLAIES LES PLUS GRAVES
POLOGNE-UKRAINE : LES COULISSES D’UNE RELATION COMPLEXE EN PÉRIODE ÉLECTORALE