Le mouvement de positivité corporelle, du moins dans le cas des femmes, a été fortement promu par tous les médias de divertissement et par les militants de la justice sociale, sur la base d’une affirmation singulière : on peut être en bonne santé quelle que soit sa taille (HAES).
Cette affirmation a inspiré de nombreux efforts visant à normaliser l’obésité dans la société américaine en la considérant non seulement comme socialement acceptable mais aussi comme médicalement acceptable.

Si l’activisme politique dans la science n’est pas nouveau et a été présent dans tous les domaines, de la rhétorique du changement climatique à la réponse aux pandémies, la désinformation sur la positivité des graisses dans l’observation scientifique est peut-être la plus flagrante et la plus répandue.
Elle tente d’ignorer ou de rejeter des décennies d’études sur les effets négatifs de l’obésité et affirme que le surpoids important a des conséquences minimes ou nulles sur la santé.
Cet argument est souvent démenti par les personnes mêmes qui ont tendance à le promouvoir et à l’encourager, car elles meurent incroyablement jeunes et de problèmes de santé qui sont habituellement réservés aux personnes âgées.
Jamie Lopez, vedette de l’émission télévisée « Super Sized Salon », axée sur la positivité corporelle, défendait la philosophie de la « beauté à toute taille », plutôt que l’idéal de la santé à tout poids.
Cependant, les partisans de la justice sociale ont souvent utilisé son exemple pour justifier le mode de vie HAES. Elle est aujourd’hui décédée, victime d’une insuffisance cardiaque à l’âge de 37 ans.
Pour être juste envers Lopez, elle a essayé de perdre du poids, perdant plus de 400 livres en un an.
Mais passer de 800 à 400 livres n’est toujours pas suffisant pour prévenir la myriade de problèmes de santé associés à l’obésité.
Il ne fait aucun doute que les partisans de la positivité corporelle tenteront de passer sous silence la cause de sa mort, mais le fait est que la santé et le poids sont indissociablement liés.
Si la « beauté » peut être considérée comme socialement subjective par certaines personnes (des études montrent que les concepts de beauté sont en fait biologiquement ancrés), les normes de santé ne sont pas subjectives.
La gourmandise est depuis longtemps une habitude méprisée dans presque toutes les cultures, et ce pour une bonne raison : c’est un signe de manque de discipline, un précurseur du déclin de la société et un déclencheur certain d’une mort précoce.
Pour vous informer sur les critères d’une santé optimale et les dérives du monde agro-industriel et de Big Pharma, visionnez notre entretien avec Gilles Lartigot.
Source: Zero Hedge
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