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Des factions liées à l’Iran ont menacé des troupes américaines en Irak
L’armée américaine a déjoué mercredi une attaque de drone contre ses troupes stationnées sur la base irakienne d’Ain Al-Asad, selon deux responsables qui ont parlé à Reuters.
Aucun groupe n’a revendiqué la responsabilité de l’attaque dans les jours qui ont suivi, mais des factions paramilitaires chiites alliées à l’Iran sont largement soupçonnées.
Elles ont prévenu que l’engrenage de la guerre à Gaza pourrait faire des troupes américaines des « cibles militaires légitimes ».
L’attaque a eu lieu quelques heures après le bombardement de l’hôpital baptiste al-Ahli à Gaza, qui aurait fait plusieurs centaines de morts et qui a été largement imputé à Israël dans le cadre de sa campagne aérienne en cours.
Toutefois, le président Biden a déclaré mercredi à Tel Aviv que les États-Unis partageaient l’avis d’Israël selon lequel il s’agissait d’une roquette perdue tirée par le Jihad islamique palestinien (PIJ).
Biden sur l’explosion de l’hôpital de Gaza : « D’après ce que j’ai vu, il semble que ce soit l’autre équipe qui l’ait fait ».
Une faction irakienne a semblé reconnaître indirectement l’attaque de drone dans les lignes qui suivent :
« Nos missiles, nos drones et nos forces spéciales sont prêts à mener des frappes qualitatives contre l’ennemi américain dans ses bases et à perturber ses intérêts s’il intervient dans cette bataille », a déclaré mercredi dernier Ahmad « Abu Hussein » al-Hamidawi, chef de la milice Kataib Hezbollah, dans un communiqué.
Il a également menacé de lancer des missiles sur des cibles israéliennes.
– AP News
Cette situation a mis toute la région sur le qui-vive, et comme des centaines de soldats américains se trouvent toujours en Irak et occupent également le nord-est de la Syrie, de nouvelles attaques pourraient être lancées contre leurs positions par des factions liées à l’Iran.
Une attaque de drone a suivi, rapporte Reuters :
« Plus tard dans la journée de mercredi, une autre attaque de drone visant la base aérienne d’al-Harir, qui abrite les forces américaines dans la ville d’Erbil, dans le nord de l’Irak, a également été déjouée, ont déclaré un responsable de la sécurité irakienne et un diplomate occidental.
Un groupe peu connu appelé Tashkil al-Waritheen, ou l’Héritier, a revendiqué l’attaque contre al-Harir. »
– Reuters
Mardi 17 Octobre, l’ambassade d’Iran à Damas a tweeté de manière énigmatique le message « Time is up » (le temps est écoulé), une déclaration qui laisse présager un soulèvement régional plus important visant les États-Unis et Israël.
C’est d’ailleurs ce qui se produit déjà dans une certaine mesure, notamment en Jordanie et au Liban.

Mais des batailles importantes pourraient se préparer en Syrie et en Irak.
Il est probable que le Pentagone ait placé ces bases en état d’alerte.
En Syrie, le gouvernement Assad cherche depuis longtemps des moyens de forcer le départ de l’occupation américaine.
La Turquie souhaite elle aussi le départ des bases américaines, notamment en raison du soutien apporté par Washington aux Kurdes syriens.
Visionnez notre entretien avec le Colonel Jacques Hogard, concernant le conflit majeur en cours :
Source : Zero Hedge
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