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L’Ukraine promet une enquête sur l’utilisation de ces mines antipersonnel interdites
Human Rights Watch (HRW) a constaté que les troupes ukrainiennes utilisaient des mines antipersonnel.
Ces armes antipersonnel sont interdites au niveau international, y compris par Kiev, en raison de leurs effets dévastateurs sur les civils.
Des rapports de HRW ont révélé plusieurs cas où l’Ukraine a utilisé des mines antipersonnel à dispersion.
Le groupe de surveillance des droits de l’homme a fait cette allégation pour la première fois dans un rapport publié en janvier , mais un communiqué de presse publié le 30 juin indique que de nouvelles preuves ont été trouvées récemment .

Les preuves montrent que les forces ukrainiennes ont tiré des roquettes contenant des milliers de mines antipersonnel PFM-1, également appelées mines « pétales » ou « papillons », selon le communiqué de presse. Les sous-munitions sont activées par pression, ce qui signifie qu’elles restent sur le sol jusqu’à ce que quelqu’un marche ou roule dessus.
« Il a été rapporté 11 victimes civiles des mines, dont un décès et de multiples amputations de la partie inférieure des jambes, sur la base d’entretiens avec les victimes et les membres de leur famille », indique le communiqué de presse.
– HRW
La Russie a également utilisé des armes antipersonnel.
Toutefois, contrairement à Moscou, Kiev a ratifié un traité international interdisant leur utilisation.
Le gouvernement ukrainien a réagi au rapport de HRW en déclarant qu’il allait « étudier » les allégations, mais qu’il maintenait que Kiev avait le droit de se défendre.
En outre, Washington est sur le point d’ approuver le transfert de bombes à fragmentation à Kiev.
« Les forces ukrainiennes semblent avoir utilisé des roquettes pour disperser des piles de mines antipersonnel de la taille d’une main, interdites au niveau international, dans les zones occupées par la Russie dans l’est de l’Ukraine. @hrw
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Comme les mines à dispersion, les sous-munitions larguées par les bombes à fragmentation resteront sur le terrain bien après la fin de la guerre, tuant des civils pendant des années.
Il existe un traité international interdisant les bombes à fragmentation.
Néanmoins, les États-Unis, la Russie et l’Ukraine n’ont pas signé cet accord.
Mais il est important de souligner qu’aussi bien Moscou que Kiev ont utilisé des bombes à fragmentation sur le champ de bataille ukrainien.

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